« Devant eux, entre les sapins couverts de givre, s’esquisse une éclaircie bleutée. Les bouleaux s’écartent, faisant tinter de minuscules glaçons au bout de leurs fines branches tombantes, et s’ouvrent sur une vaste clairière, couverte d’une épaisse couche de neige. Voici déjà le tilleul tordu au tronc creux, long et étroit comme une fissure, et, à côté, un buisson transi de sorbier. Ils sont arrivés. »[ Zouleïkha ouvre les yeux, de Gouzel Iakhina (2015) ]